Représentation de signaux#

Par convention, les importations de modules sont faites en début de notebook.

import numpy as np                    # Calcul et fonctions scientifiques
import matplotlib.pyplot as plt       # Affichage

Signal sinusoïdal#

On modifie le code de l’énoncé…

# Vecteur des abscisses : un point tous les 2 ms entre 0 et 1 s
t = np.arange(0, 1, 2e-3)

# Paramètres
A = 2
f = 5
phi = np.pi/3

# Sinusoïde
x = A * np.sin(2*np.pi*f*t + phi)

# Affichage
plt.plot(t, x)
plt.xlabel("t")
plt.ylabel("x(t)")
plt.show()
../_images/859b6a9283c2ba0252f5116e0ab4280f139e589fabd74e90a39a5e263f32299e.png

Sinusoïde amortie#

De nouveau, on s’inspire du code précédent…

L’exponentielle (numpy.exp) et le sinus sont calculés en deux instructions pour plus de clarté.

# Vecteur des abscisses : un point tous les 0,05 s entre 0 et 10 s
t = np.arange(0, 10, .05)

# Paramètres
A = 2
a = 0.5
f = 2

# Sinusoïde amortie
expo = np.exp(-a*t)
sinus = np.sin(2*np.pi*f*t)
y = A * expo * sinus

# Affichage
plt.plot(t,y)
plt.xlabel("t")
plt.ylabel("y(t)")
plt.show()
../_images/dabbf34174b0ac5cc6ade2aa901f1669b6470d0ab7ce3737bb4da5b1348d072a.png

Quelle est l’influence des paramètres ?

../_images/3d7512ba0ea4efce147d27eca9e865b01859e3b6430d7853294e3ba892ccd264.png

Porte#

N’oubliez pas : une porte ou une impulsion peuvent être définies avec numpy.where.

On veut tracer :

\[\begin{split} \begin{align*} z[n] &= A\,\mathrm{rect}\left(\frac{n-m}{N}\right) \\ &= \begin{cases} A &\text{si}\quad \left|\frac{n-m}{N}\right| \leq \frac{1}{2} \\ 0 &\text{si}\quad \left|\frac{n-m}{N}\right| > \frac{1}{2} \end{cases} \\ &= \begin{cases} A &\text{si}\quad m-\frac{N}{2} \leq n \leq m+\frac{N}{2} \\ 0 &\text{sinon} \end{cases} \end{align*} \end{split}\]

Donc avec \(A=3\), \(m=4\) et \(N=5\), le signal \(z\) est égal à \(3\) entre \(1,5\) et \(6,5\).

On peut donc définir une porte entre \(2\) et \(6\) ou, si on est plus malin et fainéant, recopier la définition du signal porte en redéfinissant le vecteur des abscisses.

# paramètres
A, m, N = 3, 4, 5

# Abscisses
n = np.arange(-10, 10)

# Signal
n2 = (n-m) / N
z = 3 * np.where( (n2>=-.5) & (n2<=.5) , 1, 0)

# Affichage
plt.figure(figsize=(10,3))
plt.stem(n, z, basefmt=" ")
plt.xticks(n)
plt.show()
../_images/0ec1b23d8c23d8a6e8a2fc682323092982422f35b9fe22975b3e4125f6f06784.png

Concentration de CO2#

Chargement des données avec la fonction numpy.loadtxt, en précisant que la première ligne est à éviter, et que les données sont délimitées par une virgule.

X = np.loadtxt("world-co2.csv", skiprows=1, delimiter=",")
print(X.shape)
(1875, 2)

Il y a 1875 enregistrements sur deux colonnes, lesquelles correspondent aux années et à la concentration en CO2 atmosphérique, à l’échelle mondiale, mesurée en parties par million (ppm) (Source : Our World in Data, Atmospheric concentrations of CO2 continue to rise).

On peut donc représenter sur différentes échelles de temps l’évolution de ce gaz à effet de serre.

../_images/e12d88a2f85e04ab9a6179a2dc56eca60f8da3bc024e377dc78b321d3322d163.png